La presse sociale, un vecteur de communication à la puissance inégalée
Quand il s’agit de mettre en œuvre une campagne de communication efficace, on peut faire appel aux supports à la mode et à quelques incontournables. Mais attention à ne pas laisser des trous dans la raquette si vous souhaitez maximiser la portée de vos messages et vous garantir un bon retour sur investissement.
Dans le domaine de l’éducation, si votre message est bien adapté à la cible, la presse sociale ou syndicale offre une puissance incomparable.
Voici cinq raisons pour lesquelles il serait dommage de passer à côté pour vos prochaines campagnes.
1/ Une diffusion papier et numérique incomparable
La presse syndicale dans l’éducation présente des chiffres de diffusion à faire blêmir plus d’un titre de la presse grand public. Prenez l’exemple du magazine “Pour” du syndicat FSU. Ce mensuel affiche à lui seul une diffusion payée de plus de 150 000 exemplaires papier. Diffusion certifiée ACPM/OJD. Les chiffres s’envolent si on y ajoute les consultations sur Internet. ”Pour” comme la majorité de la presse sociale et syndicale est en effet proposée en libre téléchargement sur les sites de syndicats.
Ces revues sont d’ailleurs largement diffusées au-delà des syndiqués eux-mêmes. On les retrouve par exemple dans toutes les salles des professeurs dans la plupart des établissement scolaires
2/ Un lectorat parfaitement ciblée, attaché au support
Dans le domaine de l’éducation, le lectorat: enseignants, professionnels de l’éducation sont des grands lecteurs en règle générale. Les revues papier bénéficient du coup d’une meilleure consultation que dans d’autres catégories socio-professionnelles.
Selon une étude du syndicat de la presse sociale réalisée en 2016, tous secteurs confondus 89% des personnes qui reçoivent un titre d’un organisme dont ils sont adhérents le lisent au moins superficiellement.
Les atouts de cette presse sociale restent surtout la fiabilité, l’utilité et la proximité avec le lecteur. Le niveau d’adhésion au contenu éditorial est mis en exergue vs. la presse grand public.
Il s’agit d’un lectorat exigeant se reconnaissant dans des valeurs essentielles dans notre démocratie : solidarité, entraide, laïcité, égalité mais aussi développement durable ou encore citoyenneté. Ce sont bien plus que des mots dont toute entreprise ou marque devra tenir compte pour communiquer avec succès.
3/ Un lectorat parfois absent du web et des réseaux sociaux
Au passage, on note que la presse sociale ou syndicale encore très présente au format papier parvient à toucher un public peu intéressé par le numérique. Ce n’est pas le cas de la grande majorité des enseignants. Mais cela peut concerner d’autres catégories de personnels de l’éducation nationale. Pour certains, la fracture numérique reste bien réelle. Une récente étude de l’institut CSA pour le syndicat de la presse sociale parle d’ “illectronisme”. Cela concerne 23% des français selon cette même étude.
4/ Des annonces mises en valeur
La presse syndicale a un autre grand avantage pour un annonceur. Les espaces publicitaires restent limités. Le contenu éditorial est roi. Les encarts publicitaires sont moins nombreux du coup ils sont aussi plus visibles.
Votre message ainsi mis en valeur sur une deuxième ou une quatrième de couverture par exemple bénéficient d’une exposition maximale sur un lectorat qui consulte un support de confiance.
5/ Un accès simplifié avec Com d’habitude
Dans l’éducation, les titres de la presse syndicale à plus forte diffusion sont en régie chez Com d’Habitude Publicité. Laissez-nous vous accompagner dans le choix des supports et la définition de vos messages pour une prochaine campagne qui respecte les règles et les codes de cette presse sociale et syndicale. C’est notre métier.
Donner à votre prochaine campagne un nouvel et puissant impact ?
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